Blanche

Je vous  invite à rentrer
avec joie dans l’année 2012 avec cet ange souriant qui nous convie  à  nous ressourcer dans sa cathédrale
de Reims comme dans une grande et belle forêt. Cette cathédrale a fêté magnifiquement en 2011 son huitième centenaire. Comme beaucoup d’autres cathédrales, elle a vécu plusieurs guerres et subi
l’usure du temps mais les hommes ont toujours ressenti le besoin de réparer ces offenses car elle est construite ainsi que ses sœurs sur un centre important de forces telluriques.

 

Dans son livre «  le message des constructeurs de cathédrales»,
Christian JACQ, grand égyptologue, nous explique l’importance de ce message pour celui ou celle qui pénètre dans une cathédrale.

 Notre terre et ses habitants
ont été marqués en 2011 par d’importants bouleversements. Plusieurs traditions et sages de notre temps nous annoncent que 2012 sera le début d’un grand changement dans l’histoire de l’humanité
qui devra la conduire vers une élévation de sa conscience.

 

JE VOUS SOUHAITE AVEC LE SOURIRE DE
L’ANGE DE FAIRE LE PLEIN POUR
2012  DE LA GRANDE ENERGIE QUI EST CELLE
DE L’AMOUR

 

 

Blanche

 

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« Quand nous avons la chance de pénétrer dans un temple ou dans une
cathédrale, nous savons aussitôt que nous devenons passager de l’univers. Les piliers nous donnent la force de l’éternité, les colonnes nous redressent et nous modèlent sur l’axe cosmique, ces
nervures permettent aux fils de notre pensée de s’entrecroiser correctement, ces chapiteaux éveillent notre intelligence en dialoguant avec elle.

.Dans sa mère la cathédrale, l’homme n’est plus un passant égaré mais un
voyageur qui connaît la carte du monde, un hôte privilégié auquel on offre les plus grandes richesses. »

 

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« Le temps de notre passage ici-bas n’est pas dépourvu de
signification ; nous avons à collaborer à l’Œuvre de l’Architecte des mondes, à la prolonger sur terre. Les cathédrales sont des boussoles, des bornes indicatrices, des repères dans la forêt
des symboles. Passé, présent et futur sont réunis en elle, puisqu’elle est l’aboutissement des efforts des anciens bâtisseurs et le point de départ des constructeurs de demain. »

 

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« La cathédrale, dans ses sculptures et dans sa géométrie, contient
l’alphabet nécessaire pour déchiffrer le livre qu’elle incarne. Livre ouvert, car offert aux yeux de tous ; livre fermé, car notre pensée et notre vie doivent être en harmonie avec le
message de la cathédrale si nous désirons le percevoir.

Dans une société profane, les lettres du livre sacré sont si dispersées
que ce dernier devient inintelligible. Dans la cathédrale, au contraire, tout est ordonné pour nous permettre de voir, de lire, de comprendre. Dans ce monde harmonique, chaque chose est à sa
place, chaque état d’être est situé selon sa juste valeur dans l’échelle qui conduit de la terre au ciel. »

 

Le message des constructeurs de cathédrales

Christian JACQ, docteur en égyptologie

 

Après un poème sur la musique, j’ai choisi un poème sur la danse . J’aurais dû faire l’inverse car j’ai toujours pensé que l’art de la danse avait précédé l’art de la musique.  Comme le
dit si bien un amérindien:

« Depuis le commencement, les tambours étaient là pour battre la mesure du monde  » .

 

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LA DANSE

 

  
Depuis le commencement, depuis des temps et des temps,

L’homme marchait.

L’homme marchait

Depuis des milliers d’années,

Marchait en balançant les bras.

 

Au bout de milliers d’années,

au bout de milliers de pas,

l’homme s’arrêta devant un rocher au
soleil.

Contre la pierre il colla son
oreille

et dit à la femme

« J’entends battre le cœur de la
terre ».

Puis lorsque vint le soir, près de la
flamme,

il lui montra les étoiles qui
scintillaient.

Heureux, ils frappèrent le sol de leurs
pieds

au rythme de la terre

et entendirent palpiter leurs propres
cœurs.

Quand le jour se montra, dès la première
heure,

ils étendirent les bras et ouvrirent les
mains

pour imiter l’oiseau qui vole dans le
matin,

mais ils ne purent voler.

Alors, jour et nuit,  ils tournèrent sur eux-mêmes,  tournèrent

les mains tendues vers le ciel
étoilé

comme les vagues de la mer

qu’ils avaient vues rouler en
cadence,

rouler jusqu’à la rive.

 

Et là, dans la musique du vent, au centre de leur
danse,

ils sentirent la joie de vivre

et la présence dans leur cœur

du Dieu créateur du rythme de
l’univers

 

                                  
   Blanche DREVET

 

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Je remercie Snow qui m’a prêté sa magnifique photo du danseur Mohawk . Je vous conseille d’aller voir ses belles photos sur son blog Bellegueulede vie, et en particulier celles des amérindiens.

Pour fêter la lumière en cette fête de Noël, je vous offre un poème trouvé sur un site que j’aime http:// www.bonheurpourtous.com/  que j’ai illustré par une photo de Frédéric Zanit trouvée sur Linternaute . Je vous souhaite un
JOYEUX NOËL à tous !!!

 

 

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La source

 

Quand le ciel et la mer s’unissent à l’horizon

Dans des bleus orangers et des violets profonds,

Le soleil, en personne, se joint à cette union

Et consacre ces noces de sa bénédiction.

 

C’est comme un sanctuaire, lorsque les hommes doutent,

Comme un point de repère, posé là, sur leur route.

Si tout semble sombrer et partir en déroute,

Qu’ils se laissent imprégner, fassent le vide, et écoutent.

 

En plein cœur du silence, un bat’ ment régulier

Viendra tout doucement leur apporter la Paix.

Ils vibreront alors dans un accord parfait

Avec la vie autour, et l’univers entier.

 

Si ton cœur et ton âme parviennent à se trouver,

A l’image du soleil, de la mer et du ciel,

Tu réaliseras, en toi, l’union sacrée

Et tu auras trouvé la source universelle.

 

 

                                                                      Patricia

 

 

 

 

 

 

 

 

A Mahler,

A la musique

Aux mots-musique

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UN
SOIR,
MAHLER,

 

 

Au cœur

de la cheminée,

les flammes s’enroulent,

se déroulent,

trouent l’obscurité.

Souples et légères,

elles prennent la couleur

de la houle de Mahler

qui m’entraîne dans un grand tourbillon

de clarinettes, hautbois, trompettes, harpes et
violons.

 

 

Les sons valsent avec la
lumière

en de folles spirales

sur les coups de
cymbales

et les joyeux
éclairs.

 

 

Un vent ivre

rugit dans les cuivres,

éclate

sous les pas lourds

du formidable tambour

s’avançant menaçant,

fantôme incandescent

de Goliath

soulevant des murs sourds

de tempête

qui retombent dans le vide.

 

 

Au fond du noir silence de ma
tête,

la flûte claire de
David

chante, danse, se
repose

et dessine d’éphémères
roses.

 

Car la contrebasse gronde sous les braises

et, vers les cimes d’ardentes falaises,

les ventres des violoncelles

projettent des bouquets d’étincelles

qui s’engouffrent dans le néant.

 

 

Illuminant le ciel,

un instant,

ils s’éteignent dans la nuit

me laissant l’infini

 

 

                                                                                          
Blanche DREVET

 

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HISTOIRE AVEC OU SANS FIN ?

 

 

Dans l’Antiquité,

Les humains,

Grecs et romains,

Croyaient de tout leur cœur

Aux génies ailés

Protecteurs

De leurs foyers.

 

Les chrétiens

Qui, par eux furent martyrisés,

Croyaient aux anges gardiens.

 

Quand ceux-ci prirent le pouvoir,

Ils traitèrent

Grecs et romains

De païens

Et des moines les massacrèrent.

 

Ainsi continue l’histoire

Sur terre

Des humains qui se font la guerre

Au nom d’êtres surnaturels

Dont ils n’ont jamais vu une aile.

 

 

Pouvons-nous nous réjouir de ce brave Père
Noël

En costume d’esquimau

Qui balaie le ciel

Sur son traîneau

Et fait fuir toutes les ailes

Qui chantent la lumière éternelle ?

 

 

                                                                             
 Blanche DREVET

ANGE

 

 

 

 

génie ailé protecteur du foyer à Pompéï

Burne-Jones  XIX s ange jouant du flageolet

Bienvenue

loin de l'agitation
des fourmilières humaines.

Merci d'être venu(e) et de m'avoir laissé une pensée car vos pensées sont pour moi une richesse.

Blanche

Archives

Philosophie

VAN GOGH une branche d'amandier en fleurs

 

" Il est bon d'aimer autant que l'on peut car c'est là que gît la vraie force ."

Vincent VAN GOGH

 

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" La tendresse est plus forte que la dureté, l'eau est plus forte que le rocher, l'amour est plus fort que la violence "

Hermann HESSE, écrivain suisse 1877-1962

victor hugo

DIEU n'a qu'un nom AMOUR et n'a qu'un front LUMIÈRE

Quand on aime, tout devient lumineux

Victor HUGO

Beethoven-non-daté

 

Le véritable artiste n'a pas d'orgueil...Tandis que d'autres, peut-être, l'admirent, il déplore de n'être pas encore arrivé là-bas où un génie meilleur brille pour lui comme un soleil lointain. Je ne reconnais en aucun homme d'autre signe de supériorité que la BONTÉ. Là où je la trouve, là est mon foyer.

Ludwig van BEETHOVEN

cité par François Cheng dans son livre " cinq méditations sur la beauté "

 

françois Cheng

La bonté est garante de la qualité de la beauté.

La beauté irradie la bonté et la rend désirable.

François CHENG  "cinq méditations sur la beauté"

 

 

Paroles Amérindiennes

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"choisis bien tes mots car ce sont eux qui créent le monde qui t'entoure "

paroles des NAVAJOS

 

"Quand le dernier arbre
Aura été abattu
Quand la dernière rivière
Aura été empoisonnée
Quand le dernier poisson
Aura été pêché
alors on saura que
L'argent ne se mange pas"

Go Khla Yeh

 

"Avant de juger une personne, marche pendant trois lunes dans ses mocassins."

proverbe amérindien

Science et Littérature

« La plus belle et la plus profonde émotion que nous puissions expérimenter est la sensation mystique. C’est la semence de toute science véritable. Celui à qui cette émotion est étrangère, qui n’a plus la possibilité de s’étonner et d’être frappé de respect, celui-là est comme s’il était mort .Savoir que ce qui nous est impénétrable existe réellement et se manifeste à travers la plus haute sagesse, la plus rayonnante beauté, sagesse et beauté que nos facultés peuvent comprendre seulement dans leur forme la plus primitive, cette connaissance, ce sentiment est au centre de la vraie religion. »

ALBERT EINSTEIN

 

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J’ai passé bien des heures de ma vie à regarder pousser l’herbe ou à contempler la sérénité des grosses pierres au clair de lune. Je m’identifiais tellement au mode d’existence de ces choses tranquilles, prétendues inertes, que j’arrivais à participer à leur calme béatitude.

George Sand

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