Ce matin, en regardant se faner la dernière petite rose de mon jardin,
j’ai senti qu’elle voulait, comme ses sœurs, me parler en silence.
Me parler de l’éphémère de la vie, de la joie, de la souffrance, de la mort , de l’espérance
et de bien d’autres choses que je ne peux traduire…
J’offre ces roses et tout ce qu’elles contiennent dans leurs coeurs
à tous les hommes, toutes les femmes et tous les enfants qui souffrent dans le sud
de notre pays et dans le monde entier.
Laisser un commentaire