La fête des mères est passée mais il n’est jamais trop tard pour dédier un poème à toutes les mères de la terre qui se sacrifient pour leurs enfants :
Courageuse alouette
que j’entends
Au-dessus de ma tête
Quand je marche dans les champs,
Je te demande pardon
De te faire si peur !
Tu ne peux comprendre mon bonheur
De marcher dans le printemps,
L’âme guillerette, c’est si bon !
Quand tu vois arriver un prédateur
Ton petit cœur
Bat très très fort,
Il te faut l’éloigner encore et encore
Pour protéger
Ta couvée bien cachée !
Alors tu t’élances dans le ciel étincelant
Et tu chantes à tue-tête !
Courageuse alouette
Ton chant n’est pas celui du printemps
Mais celui de l’amour maternel
Qui remplit tout le ciel !
Blanche DREVET
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